Mortelles

Je ne sais pas comment la classer et ou.

Elle a était commencé en février 2009, je suis entrain de la continuer donc je verrais par la suite ou je la mets.

C’est par une terrible nuit d’hiver, qu’ils virent le jour au milieu d’un éclair blanc. Quelques secondes d’intervalles les avaient séparés de ce nouveau monde et de leur nouvelle vie.

Malheureusement le bonheur de leur naissance fut vite entacher par la mort de leur mère. Trop jeune et bien trop faible pour pouvoir assumer un accouchement comme celui ci, et surtout n’étant pas assisté de médecin, l’hémorragie qui se déclara eut tôt fait de l’emporter.

Leur père se retrouva alors propulsé dans le monde de la paternité, lui qui n’avait guère de temps à accorder à sa jeune épouse.
Il dut aussitôt faire face à cette nouvelle affreuse alors qu’il était en voyage d’affaire sur l’autre côté du continent et que la neige et les vents glaciaux le retenaient prisonnier.

Pour rien il ne serrait revenu de son voyage si son major d’homme ne lui avait pas fait comprendre l’extrême urgence de son retour.
Il parvient à rentrer chez lui trois jours après le drame. Les nouveaux nés avaient été prise en charge par une nourrice dépêchée sur place par les bonnes au service de madame.

Le major d’homme s’était occupé de tout pour l’enterrement de madame connaissant parfaitement le système et de toute manière sachant que son Maître ne prendrait pas le temps de s’en chargeait.

La famille de la défunte devait arriver dans les heures suivant l’arrivée de Monsieur.

Pendant toute la durée des funérailles personne ne fit attention aux deux orphelins restaient sans mère et avec un père absent.

Une fois tout le processus de l’enterrement terminé, Monsieur veilla quand même au bien être de ces petits et surtout, qu’ils ne viennent pas l’encombrer dans les années à venir. Il laissa sur un comptes suffisamment d’argent pour que les deux nourrices chargés de leurs éducations ne manquent absolument de rien. Ainsi, il prit de nouveau la diligence vers ces nouveaux contrats le cœur léger, persuadé avoir agit au mieux pour l’intérêt des bambins.

Dans ce monde, il y avait deux catégories de gens : les nantis et ceux qui n'avaient que leurs mains pour survivre.

Le jeune Louis fêtait aujourd'hui son quatorzième anniversaire. Cela ne signifiait rien d'autre pour lui que quitter l'école pour se mettre au travail afin d'aider sa famille à subsister.

Il n'aura pas le choix : ce sera maréchal Ferrand, comme son père ! Et cela lui était égal car il adorait les chevaux. Il préférait de loin la compagnie des animaux à celle des hommes.

Il savait qu'il se préparait une vie difficile avec ce métier mais l'amour des chevaux l'aiderait à tenir. Il souhaitait surtout ne pas devenir comme son père qui battait toute sa famille après avoir trop bu sans doute pour oublier cette vie misérable et sans surprise.